Séance 1: introduction de l'atelier au Hang'art créatif

15 septembre 2022


Nous avons commencé par une prise de contact et la présentation de l'atelier de matière globale. Cela s'est déroulé au Hangart créatif avec Jean Taddei et Aurélie Brouet. Nous avons fait connaissance et exposé nos attentes vis-à-vis de l'atelier ainsi que les raisons qui nous ont poussé à choisir cette option. Nous avions tous des visions différentes mais avions un point commun: aucune connaissance de base sur le cinéma argentique. 


Nous avons démarré par découvrir les caméras argentiques comme par exemple les AATON en 16mm et en super 8. Les deux caméras se différencient par leur format. Les films en 16mm sont deux fois plus grands que les films 8mm ou le super 8. Pour différencier les films de 8 mm et les films super 8, il faut se concentrer sur les perforations. Les perforations se trouvent au milieu des images pour le super 8 et sur le 8mm celles-ci se trouvent entre les images.



Moment Histoire

En 1972, l'ingénieur Jean-Pierre Beauviala dessine une caméra transportable plus facilement qui permet de filmer sur le terrain. Il crée la caméra Aaton, stable et confortable. M. Beauviala invente un nouveau système de porté sur l'épaule grâce à son chat. En effet, après avoir étudié les différentes prises en mains, l'ingénieur se rend compte que lorsque son chat est perché sur son épaule, il épouse parfaitement la forme de son épaule et ne le dérange pas.  Ainsi, son chat fut sa muse dans le design de l'ergonomie de sa nouvelle caméra : une caméra portée épaule que l'on pose directement sur le corps.






La caméra n'est pas seulement une avancée au niveau du porté mais aussi sur le plan technologique pour le monde du cinéma. Parmi elles, on compte la synchronisation de l'image avec un mécanisme plus silencieux que les caméras précédentes. Le changement rapide du magasin (cf. session 2) qui contient la pellicule révolutionne le monde du cinéma


Anecdote : Jean-Pierre Beauviala sortait avec des cheffes opératrices qui lui expliquaient les problèmes rencontrés avec les caméras et lui conseillaient des améliorations. De plus, Aurélie nous apprend qu'il appréciait énormément l'Isère et le Triève et qu'il ne sortait jamais sans son béret.


Quelques films tournés à la caméra Aaton :

  • C'est arrivé près de chez vous de Rémy Belvaux, André Bonzel et Benoît Poelvoorde en 1992.

  • Halloween II (remake de Halloween : la nuit des masques") de Rob Zombie en 2009

  • Irréversible de Gaspar Noé sortit en 2002

  • Jackass le film réalisé par Jeff Tremaine en 2002

  • Jaune le Soleil de la dramaturge Marguerite Duras en 1972

  • Mala Noche de Gus Van Sant en 1986

  • La Maman et la Putain de Jean-Eustache sorti en 1973

  • Flag Day réalisé par Sean Penn en 2021


Séance 2: introduction de l'atelier au Fresnoy

 

6 octobre 2022,

La première vraie session était une séance de présentation de l'atelier de manière plus précise avec la présence de tous les participants: les étudiants de l'université Catholique de Lille et ceux du Fresnoy

Nous étions réunis sur le grand plateau de tournage du Fresnoy


Nous avons pu rencontrer les étudiants du Fresnoy avec qui nous allions travailler tout le long du semestre ainsi que toutes les personnes qui allaient nous encadrer pendant les workshops. Nous avons donc tous fait les présentations. L'équipe d'Aurélie Brouet se compose de Théo Coeugniet , Ludivine Sibelle, de Boris Rogez et de Solène Secq qui n'était malheureusement pas présente ce jour-là.

Avant de former les futures équipes de tournage, nous avons eu un premier contact avec les caméras et les pellicules. Nous avons pu observer les magasins, les boîtes de chargement et des pellicules déjà exposés.


On a profité de cette occasion pour établir le programme et l'organisation de l'atelier avec nos coéquipiers du Fresnoy. Il a été établi que nous utiliserions la technique "Tournée montée".

Nous avons pu voir quelques films de Ludivine Sibelle qu'elle avait tournés elle-même en caméra argentique. Nous avons surtout eu la chance de voir en avant-première ses derniers travaux, non publié (à ce moment-là).

La quantité d'informations était très dense pour cette première session, il y a quelques fois des décalages entre nous et les étudiants du Fresnoy qui sont plus expérimentés et connaissent quelques termes plus techniques. Mais somme toute, nous étions tous très satisfaits. 



Séance 3: théorie de la technique 

13 octobre 2022,


Pour cette troisième session nous nous sommes retrouvé dans la salle informatique du Fresnoy. On nous a alors présenté les outils que l'on utilisera lors des tournages. Nous avons contribué à l'installation du trépied, puis nous avons pu tester sa solidité par nous-mêmes: aspects extrêmement importants lorsqu'on sait qu'il doit pouvoir supporter le poids de la caméra en toute sécurité (à condition d'être bien installé bien entendu). 


Cela a du sens lorsqu'on connaît le prix de la plupart des matériaux: ce sont des investissements conséquents. Par exemple, un pied, un trépied et un socle d'entrée de gamme coûtent 12 000€. Ce prix est dû à la rareté des produits et à leur technicité. C'est pourquoi il est nécessaire de dire "J'ai" dès que nous avons la caméra bien en main lors d'un échange.

Cette session fut encore très technique. Nous avons découvert de nouveaux termes techniques, de nouveaux instruments ainsi que leurs environnements.


Cette séance portait surtout sur les aspects techniques que nous développons dans la section "Termes Techniques" de ce blog. Si vous êtes intéressés, nous vous invitons à visiter cette partie du blog qui y est dédié. 


Séance 4: essais et préparation

20 octobre 2022,

Nous nous sommes tous retrouvés en salle de labo photo pour cette quatrième session. Nous avons ramené tout le matériel du magasin pour pouvoir nous préparer pour le jour du tournage. Il y avait beaucoup de malles contenant du matériel, et nous avons fait plusieurs trajets pour s'assurer de ne pas abîmer celui-ci.

Nous avons installé des éclairages que l'on appelle des mandarines (parce qu'elles sont rondes et orange) et une grande feuille au mur afin de pouvoir cadrer notre image.

Photo des éclairages que l'on appelle des "mandarines"

Lors de cette séance, nous avons appris à faire des essais caméra. Pour faire un essai caméra 16 mm, il faut réaliser trois différents tests :

1. Le test de rayures :

Le premier test est le test de rayures. ll est très utile de faire ce test en premier pour gagner du temps, car s'il y a un problème de rayures sur l'image, il est bon de s'en rendre compte avant le tournage. Dans le pire des cas, s'il faut changer de caméra, il faudrait refaire tous les essais. Cet essai permet de vérifier que le passage du film dans l'appareil ne provoque pas de rayure. On fait passer quelques mètres de pellicule dans l'appareil, que l'on examine ensuite soigneusement. Cet essai doit être effectué avec chaque magasin ou chaque chargeur. Si un magasin raye la pellicule, il ne sera pas utilisé.

Il faut vérifier pour commencer que la pellicule utilisée n'est pas déjà rayée. On coupe dans le noir environ un mètre de film de la bobine qui sera utilisée pour les essais. Ensuite on voile ce mètre pour vérifier qu'il ne comporte pas de rayures de chaque côté à la lumière en le tendant de sorte à ce qu'il soit raide. Après, on charge avec le reste de la bobine d'essai un magasin dans le noir et on lance un run pour laisser défiler entre 50cm et un mètre de film. On décharge ensuite la caméra et on coupe dans la partie qui a été exposée. Ce test se fait sur tous les chargeurs et magasins. Pour finir, on vérifie l'absence de rayures après le tournage. Si elle ne raye pas, les essais peuvent alors continuer.

2. Le test de conformation de cadre (test de confo):

Cet essai permet de vérifier la conformité de la gravure des bords du cadre sur le dépoli du viseur avec les bords de la fenêtre d'impression. Pour l'effectuer, il faut placer à plusieurs endroits du bord cadre vu dans le viseur deux triangles opposés par leur sommet. On place en général deux paires de triangles par côté de cadre. Le plan film doit être parfaitement parallèle au mur d'essai en visant avec la croix du dépoli, le centre de l'objectif réfléchi dans un miroir plaqué sur le mur. On doit disposer des flèches noires aux quatre côtés du cadre de façon à avoir la pointe de chaque flèche en limite du cadre visé. Dans le cas où le format du dépoli correspond à celui de l'impression, il est alors utile de placer des flèches de part et d'autre du trait du dépoli en prenant en compte l'épaisseur du trait. Cela fait au total, 8 flèches à l'intérieur du cadre et 8 autres en face à l'extérieur du cadre. Ci-dessous la schématisation et des images lors de l'atelier:

3- le test de fixité:

Il s'agit de vérifier la bonne stabilité du film lors de l'impression en caméra, qui, à défaut, provoquera un tremblement de l'image en projection. On contrôle donc si tous les photogrammes impressionnés le sont bien toujours à intervalles réguliers au même endroit sur le film par rapport à la fenêtre d'impression afin de contrôler en projection la stabilité d'une suite d'images les unes par rapport aux autres. Le principe de l'essai est de procéder à une double impression et d'évaluer l'éventuel déplacement relatif des images impressionnées. Ils sont effectués en filmant une mire de fixité éditée par la CST(Commission supérieure technique de l'image et du son).

La mire est centrée, placée orthogonalement à l'axe optique et filmée plein cadre. Cette mire est impressionnée une première fois dans un sens puis elle est pivotée de 180° et ré-impressionnée. La double exposition nécessite un rembobinage manuel si la caméra ne permet pas la marche arrière, et une sous-exposition de chaque passage d'une valeur de diaphragme. Cet essai est réalisé pour tous les magasins. L'essai est développé puis examiné en projection négative. Le défaut peut provenir d'un mauvais réglage en tension du magasin ou d'un mauvais chargement, d'un défaut de fabrication de la pellicule ou d'un défaut mécanique dans le système de griffes/contre-griffes de la caméra.

4- le calage des optiques:

 Nous n'avons pas eu à réaliser ce test mais celui- ci consiste à vérifier que l'image la plus nette possible d'un objet situé à une distance donnée est obtenue lorsque cette distance est affichée sur la bague de mise au point.Cet essai doit être réalisé avec chaque objectif et sur un ensemble représentatif de focales pour les zooms.Elle utilise le principe du retour inverse de la lumière et l'objectif testé est utilisé comme objectif de projection d'une mire transparente placée à l'endroit d'impression de la pellicule.

Nous avons utilisé des flèches pour nous aider à mieux cadrer et savoir ce que l'on filme à l'aide des retours caméra.


Images: installation des triangles pour créer le cadre de la caméra/ Le retour caméra / Conseils d'Aurélie pour cadrer le plus précisément possible / Outils nécessaires à cadrer l'image (flèches, miroir pour avoir un retour et mètre pour mesurer les distances

Nous avons appris à faire la mise au point. Cela consiste à modifier les réglages de la caméra pour que l'image soit nette. Il y a plusieurs facteurs à prendre en compte pour effectuer une mise au point, par exemple: le type d'objectif choisi avec la lentille de la caméra.

À la suite de ces essais, nous avons pu choisir nos binômes pour les jours de tournage. Nous avons tous simplement discuté avec les uns et les autres pour connaître les envies et inclinations de chacun. Les groupes se sont formés grâce aux affinités et à des envies artistiques semblables. Prochaine étape:  écrire les scénarios !!!


Les groupes sont donc :

  • Marion avec Robin et Amir

  • Souraley avec Alexandre

  • Perrine avec Emilien

  • Lucas avec Anton

  • Clara avec Amer

  • Cloé avec Ana

  • Lillia avec Lucas du Fresnoy

  • Jeanne avec Bianca

  • Marie avec Ferdinand


Séance 5: premier jour de tournage 

3 novembre 2022,

Pour les sessions de tournage, chaque parcours était différent. Nous n'avons pas rencontré les mêmes difficultés et ceux qui sont passés la première semaine ont eu moins de temps pour se préparer. Nous avons eu un petit briefing avant de commencer : ceux qui ne tournent pas doivent aider les réalisateurs. Nos réalisatrices du jour : Jeanne, Marion et Lillia.

Vous pouvez retrouver le détail de chacun des projets, avec le point de vue personnel de chacun de nous dans la section "Projets" de ce blog. 



Séance 6: deuxième jour de tournage

10 novembre 2022,

Pour cette deuxième session de tournage nous tournons 3 films: celui de Clara, Perrine et Marion (qui a rencontré des problèmes techniques la semaine précédente).

Vous pouvez retrouver le détail de chacun des projets, avec le point de vue personnel de chacun de nous dans la section "Projets" de ce blog. 


Séance 7: troisième et dernier jour de tournage 

17 novembre 2022,

Cette séance a très mal commencé: un magasin avait été mal rangé et un membre du Fresnoy l'a malheureusement ouvert, ce qui a pu exposer la pellicule et donc l'abimer. Le film est pour le moment orphelin et nous ne savons pas à qui il appartient. On ne retrouve pas les films de Marion et Clara non plus, ce qui laisse penser que l'une d'elles est peut-être propriétaire de la pellicule accidentée.

Malgré tout, il faut commencer à tourner les derniers films. Il y a 4 tournages mais uniquement 3 caméras. Le groupe de Marie et Ferdinand, sont donc partis en avance pour tourner et libérer une caméra au plus vite. Les films du jour étaient ceux de Marie, Souraley, Lucas et Cloé. Les autres étaient une fois encore présents pour aider la réalisation des différents tournages. Ainsi, sur la fin de la séance, nous nous sommes tous retrouvés sur le tournage de Lucas pour une séquence de danse en groupe!                               Un moment mémorable !!! 

Vous pouvez retrouver le détail de chacun des projets, avec le point de vue personnel des étudiants, dans la section "Projets" de ce blog. 


Séance 8: première session de développement des pellicules

24 novembre 2022,

Quelques nouvelles:

Le film de Marion a été retrouvé! Celui de Clara : toujours pas! 

La boîte avec la pellicule chargée est entourée de scotchs afin de ne pas laisser entrer la lumière (pour ne pas exposer la pellicule)

Un doute plane sur le film de Souraley aussi mais une fois développé, on s'est rendu compte qu'il s'agissait bien du sien. 

Cette séance est consacrée au développement des pellicules. Pour cela, il faut suivre un protocole chronométré et assez précis. La pellicule, toujours bien a l'abri de la lumière mais cette fois dans un autre contenant, va passer par plusieurs bains de produits chimiques (rien de bien dangereux, n'ayez crainte! A moins de les boire mais là vous le faites exprès aussi...) pendant un certain laps de temps. Et il faut bien respecter l'ordre de passage des produits pour obtenir le bon résultat. 

Ce qui ne s'est malheureusement pas passé pour le film de Lillia. Deux des produits ont été inversés, ce qui a donné une pellicule très particulière à la fin. Ce qui est très artistique d'un côté, mais qui ne montre absolument pas le travail de Lillia et de son binôme. Ce fut un défi auquel elle ne pensait pas faire face mais elle pourra refilmer son projet la semaine prochaine, pour avoir un film à la fin de l'atelier. 

On peut voir sur les images précédentes, le résultat pour le film de Lilia. Sa pellicule est totalement blanche. Nous n'avons pas trouvé d'explications au début. En effet, s'il y a trop de chimie, la pellicule va être tachetée de différentes couleurs orange ou rouge. À l'inverse, si la pellicule avait été exposée à la lumière, elle serait ressortie totalement noire. Il n'y a donc aucune explication du fait qu'elle soit ressortie de la cuve translucide. Mais nous avons fini par déterminé que deux chimies avaient été inversées lors du développement.

Une fois que la chimie est effectuée, nous devons dérouler les pellicules. C'est donc la première fois que la pellicule peut voir le jour sans être altérée. On va ainsi pouvoir étendre sur un fil la pellicule et la faire tenir grâce à des pinces à linges. Cela va permettre à la pellicule de sécher (car elle est humide à cause des produits chimiques). Il faut être encore très minutieux et toucher le moins possible de frames. Il faut attraper la pellicule avec des gants ou alors au niveau des perforations.


Impression générale : c'est un processus très impressionnant et presque magique. Mais c'est surtout très stressant de savoir qu'une petite erreur peut détruire complètement notre travail, et on ne le sait qu'à la toute fin quand le film sèche. 



Séance 9: dernière session du workshop

1 décembre 2022,

Bonne nouvelle: on a retrouvé le film de Clara aussi. Le film exposé n'appartient pas à notre groupe de travail sur l'atelier (une petite pensée pour la pauvre personne qui va retrouver son film exposé). Lillia a pu refaire son film et cette fois-ci le développement s'est bien passé. Elle a son film. Certains d'entre nous ont pu voir le résultat de leurs films car leurs pellicules ont été développées sans soucis.

Pour le séchage et le développement, nous avions coupé en deux la pellicule pour pouvoir l'enrouler plus facilement. Nous avons donc étendu deux fois 15 mètres. Cependant, afin de pouvoir visionner notre film, il faut les rassembler. Ainsi, nous utilisons une machine que l'on appelle une "colleuse". Celle-ci est équipée de scotch et permet de bien le presser sur la pellicule afin que l'on ne voit aucune différenceL'appareil possède des petits pics (rond en rouge) afin d'y mettre les perforations et que la pellicule ne bouge pas lorsque l'on va la coller. Il possède également un couteau (rond en bleu) qui permet de couper droit et net la pellicule.

Pour le début de la pellicule on peut y accrocher de la bande blanche. Celle-ci va nous aider à différencier les films. En effet, le but final étant la projection, nous allons accrocher tous les films ensemble. La bande blanche nous aide donc à savoir lorsque nous passons à un autre film. Il est aussi utile pour nous repérer : si l'on est au début ou à la fin du film. 

Par la suite, nous avons enroulé nos pellicules. Il y a deux possibilités pour enrouler une pellicule : nous pouvons le faire à la main ou avec l'aide de la table de montage (cf. ci-dessous). Le fait de l'enrouler à la main prend beaucoup plus de temps mais en revanche on abime moins la pellicule car on ne la transporte pas et on ne l'emmêle potentiellement pas. On les met ensuite dans une boîte pour les transporter. Pour finir par l'enrouler sur la table de montage. Celle-ci permet de pouvoir visionner le film et de permettre de voir où l'on peut couper les pellicules pour faire du montage. Ici, nous allons aussi l'utiliser pour enrouler autour d'un noyau notre pellicule grâce aux platines qui tournent.

Nous avons terminé de développer les derniers films. Certains ont pu voir les films déjà développés. Malheureusement, le temps tourne et nous n'avons plus le temps de les voir tous. 

Pour terminer cet atelier, nous avons réalisé un journal de bord/ rapport qui reprend tout notre travail ainsi que tout ce que nous avons appris. Ce site web est une reprise plus créative pour compléter le journal de bord. Nous avons ensuite décidé de nous retrouver une dernière fois pour cet atelier, un samedi en janvier, pour voir chacun des projets sur grand écran, dans la salle de projection!

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